presse
Bachtrack – 06 février 2020 – P. Ramin
« Fabien Hyon incarne un directeur d’établissement odieux tout à fait délectable, sa voix lumineuse et une diction élégante se jouent admirablement d’une partition particulièrement éprouvante. »
Lire la suite
ConcertClassic – 31 janvier 2020 – A. Cochard
» Voix lumineuse et bien projetée, le jeune ténor Fabien Hyon apporte vigueur et santé à un Gobineau aussi fier de son établissement qu’attiré par Célia – aucune chance Nestor ! » Lire la suite
ForumOpera – 31 janvier 2020 – B. Cormier
« Dans le rôle omniprésent mais peu sympathique du libidineux directeur, le solide ténor Fabien Hyon ne ménage pas sa peine. Il est sur tous les fronts. C’est à lui que reviendra l’étonnante conclusion sur la réouverture immédiate des Bains Terminus, une fois finie l’enquête policière qui va se poursuivre dans l’au-delà ! »
Lire la suite
Baroquiades – 16 juillet 2019 – P. Benveniste
« On admire ensuite l’intervention de Mercure, le dieu messager. Jupiter descend ici-bas, clame Fabien Hyon, impressionnant ténor à la voix incisive, au timbre charmeur et à la diction parfaite«
Lire la suite
Diapasonmag – 16 juillet 2019 – L. Chahine
« Très en forme, Cyril Auvity déploie son ténor onctueux sans perdre de vue le texte ni surjouer, trouvant en Fabien Hyon un comparse aux qualités similaires. Chez tous, les récitatifs sont portés par une implication constante et délicieuse.. »
Lire la suite
Classiquenews – 15 juillet 2019 – J-F. Lattarico
« Philippe Estèphe est une très magnifique révélation : un timbre superbement ciselé, un art de la déclamation trop rare : dans l’acoustique par trop réverbérée de la Basilique, pas une syllabe ne s’est perdue dans les volutes romanes du bâtiment. Mêmes qualités chez le ténor Fabien Hyon, Mercure espiègle et décidé : les quelques duos avec Cyril Auvity ont provoqué une rare jouissance vocale qu’on aurait souhaité voir se prolonger.«
Lire la suite
ForumOpera – 12 juillet 2019 – L. Bury
« Deux ténors admirablement assortis, en la personne de Cyril Auvity […] et de Fabien Hyon, nouvelle et fort appréciable recrue, exquis Mercure aux couleurs un rien plus sombres (et assez impayable dans les rôle des « Maladies languissantes »). »
Lire la suite
Télérama – 18 juillet 2019 – S. Bourdais
« …une délicieuse scène de marivaudage avec Mercure (le ténor Fabien Hyon, récemment admiré dans Le Testament de la Tante Caroline).. »
Lire la suite
Avant-Scène Opéra – 07 juin 2019 – F. Goubault
« le ténor Fabien Hyon est à l’aise dans tous les registres, aussi bien théâtral que chanté, et doté d’une diction irréprochable. »
Lire la suite
ForumOpera – 07 juin 2019 – L. Bury
« Noël donne à Fabien Hyon l’occasion de montrer une belle vaillance vers la fin de l’œuvre, et Roussel est bien heureux qu’on ait confié ce rôle à pareil titulaire. »
Lire la suite
Le Figaro – 07 juin 2019 – C. Merlin
« On attirera aussi l’attention sur la précision musicale et la belle technique vocale des jeunes premiers Fabien Hyon et Marie Perbost. »
Lire la suite
ConcertClassic – 07 juin 2019 – A. Cochard
» On ne résiste pas non plus […] au Noël de Fabien Hyon (on connaissait le ténor dans la mélodie, où il excelle ; il affirme ici un solide tempérament théâtral). »
Lire la suite
La Grande Parade – 15 avril 2019 – D. Caudal
« Fabien Hyon, ténor dans le rôle de ce fougueux amant [Enée, ndlr], donne le ton à ce tragique opéra, avec une aisance et une justesse admirable.«
Lire la suite
Crescendo Magazine – 05 mai 2018 – B. Beyne & M. Debra
« D’une grande maturité vocale et artistique, le ténor français Fabien Hyon axe surtout son répertoire sur la mélodie française qui semble son terreau originel. Accompagné d’un pianiste complice, Michalis Boliakis, les deux Möricke Lieder de Hugo Wolf sont donnés avec noblesse et intensité du propos, la prononciation est parfaite. La mi-voix est superbe dans Light de Roussel et, tout du long, les crescendi jusqu’au fff sont organiques, guidés par le sens du texte. Dans Azaël de l’Enfant prodigue de Debussy, la voix se fait tendresse, enrobée de soie pour rejoindre le tragique final : « J’ai mérité mon sort »… Un moment fort.
Quel bel artiste ! »
Lire la suite
La croix – 07 avril 2018 – E. Giulliani
« La voix charnue, intense, solaire, et la présence scénique bouleversante du ténor Fabien Hyon se déploient dans un rôle à leur mesure et l’on ne peut que souhaiter le meilleur à cet artiste déjà engagé dans une jolie carrière, à l’opéra comme au concert. »
Lire la suite
France Musique – 07 avril 2018 – Th. Hillériteau
« … et surtout, surtout, le ténor Fabien Hyon, littéralement éblouissant en Télémaque atrabilaire et presque schizophrène, déchiré entre le manque et la détestation du père. […] De fait son monologue du début est un véritable morceau de bravoure… »
Ecouter la suite
Le Figaro – 06 avril 2018 – Th. Hillériteau
« Il y a dans le monologue du fils, soutenu avec une superbe abattage par le ténor Fabien Hyon, quelque chose de très actuel. »
Lire la suite
ResMusica – 11 janvier 2017 – M. Tosi
« Révélation de la soirée, le ténor de Fabien Hyon est davantage ductile et nuancé, le chanteur endossant son double rôle écrasant avec une énergie rayonnante et une aisance tant scénique que vocale. »
Lire la suite
ForumOpera – 10 mars 2016 – L. Bury
« Impossible de passer sous silence le formidable talent comique du ténor Fabien Hyon, dont la verve scénique se déploie sans que son chant en pâtisse le moins du monde : voilà un autre nom à retenir. »
Lire la suite